Les attractions touristiques du Guatemala: Quoi y voir?

Comme le plus beau pays d’Amérique centrale le Guatemala était avec le Yucatán et le Chiapas le berceau de la civilisation maya. Voici quelques-uns des sites archéologiques les plus spectaculaires d’Amérique centrale. Le site le plus important est celui de Tikal, un site du patrimoine mondial de l’ONUESC. Le tourisme au Guatemala est devenu une source importante de revenus et possède encore un énorme potentiel supplémentaire. Au cours des dernières années il a également développé des croisières de tourisme, qui touchent les principaux ports du pays, permettant avec des excursions quotidiennes la visite à certaines des attractions touristiques les plus importantes du pays.

Les ruines moins connus mayas comme ceux de El Ceibal, Piedras Negras, Uaxactun et Rio Azul sont tous situés au département de Peten. Un autre centre maya de grande importance et un patrimoine de l’humanité de l’ONUESC est Quiriguá au département d’Izabal, connu pour le grand nombre de statues, qui s’y trouvent.

D’autres aspects, qui font un voyage au Guatemala mémorable, le pays étant considéré par beaucoup comme le plus beau d’Amérique centrale, sont les magnifiques paysages des hauts plateaux du Guatemala, parsemées de lacs et de volcans. Le lac le plus célèbre du pays est le lac Atitlán, qui est d’origine volcanique et entouré par trois cônes volcaniques spectaculaires.

La richesse de la culture de la population amérindien est un autre point fort de Guatemala: Les vêtements, les fêtes religieuses et les marchés typiques de Chichicastenango. Ce sont des attractions touristiques uniques. Il s’agit de remarquables exemples de l’art colonial espagnol comme vous pouvez le voir dans l’ancienne capitale du pays, Antigua Guatemala, que l’ONUESC a inclus au patrimoine mondial de l’humanité.

Le Guatemala dispose de 3 sites, qui font partie du patrimoine mondial de la liste de l’ONUESC: Antigua Guatemala (1979), le Parc national de Tikal (1979) et le site archéologique de ruines mayas de Quirigua (1981).

Texte français corrigé par Dietrich Köster.