En raison de sites naturels et archéologiques du Belize le tourisme est devenu au cours des dernières années la deuxième plus importante activité économique du pays, bien que Belize est l’une des destinations des Caraïbes moins fréquentées par les touristes. Mais le pays dispose de nombreuses références quand même, en particulier en ce qui concerne la beauté naturelle comme les récifs coralliens, les grottes, les forêts vierges et les cascades en plus des sites archéologiques de la civilisation maya.
Le Belize est une destination connue par les amateurs de l’écotourisme, en particulier grâce à ses magnifiques récifs de corail, qui sont une destination pour les plongeurs du monde entier. Les récifs coralliens, situés au large des côtes du pays, sont l’objectif de la plupart des touristes, qui visitent le pays.
Le Belize possède un des plus grands récifs de corail de l’hémisphère nord. Le Belize Barrier Reef est la continuation de la barrière de corail, qui s’étend sur environ 900 km le long de la côte du Yucatán et du Belize. A l’extérieur du récif de Belize il y a trois grands atolls coralliens: Turneffe Islands, Lighthouse Reef et Glover’s Reef.
Parmi les sites les plus célèbres il y a le Grand Trou Bleu (Great Blue Hole), un grand trou bleu sous-marin, situé au large de la côte du Belize près du récif du Lighthouse (Lighthouse Reef). Ambergris Caye est le plus grand centre de tourisme maritime au Belize. Autres endroits fréquentés sont Caye Caulker et Caye Chapel.
Une grande partie du récif de la barrière de Belize est protégée par sept réserves marines. En 1996 ce récif a rejoint la liste des sites du Patrimoine Mondial de l’Humanité de l’ONUESC.
Le Belize a également quelques sites archéologiques intéressants avec des ruines de la civilisation maya, dont le plus beau est celui de Altun Ha, qui est le site archéologique le plus important du pays avec Xunantunich, Nim Li Punit, Lamanai, et Lubaantun.
Les récifs de corail du Belize sont le seul site du Belize, qui fait partie du Patrimoine Mondial de l’Humanité de l’ONUESC depuis 1996.
Texte français corrigé par Dietrich Köster.